(In)civilités : langue, discours, société
Poétique et rhétorique au XVIIe siècle
Séminaire de Delphine Denis (Sorbonne Université)
avec la collaboration de Carine BARBAFIERI (Valenciennes)
et Françoise POULET (Bordeaux, IUF)
Année universitaire 2023-2024
Mardi, 16h-18h – Bibliothèque de l’UFR de Langue française (Esc. G, rez-de-chaussée)
30 janvier — Frédéric Martin (Conservateur en chef des bibliothèques – chercheur associé au CELLF – UMR 8599)
« Les Rencontres inciviles de Louis de Neufgermain et de Vincent Voiture : poésie hétéroclite, éloges sarcastiques »
6 février — Guillaume Peureux (Nanterre)
« Usage satyrique de la langue dans Le Parnasse satyrique (1622) : un discours incivil ? »
13 février — Tony Gheeraert (Université de Rouen)
« L’(in)civilité dans les contes de fées de la fin du xviie siècle »
27 février — Valeria Pompejano (Université Roma Tre, Italie)
« Incivilité des fous, inconvenance des folles. Du traité de Tommaso Garzoni (1586) au théâtre de Charles Beys (1635 ; 1653) »
5 mars — Kim Gladu (Université du Québec à Rimouski)
« D’un usage civil de la poésie galante ou l’incivilité voilée »
12 mars — Gilles Magniont (Université Bordeaux Montaigne)
« Genre et civilité, du xviie siècle à aujourd’hui »
19 mars — Justine Le Floc’h (Université de Kyoto, Japon)
« Offenses, incivilités et autres marques de mépris : la psychologisation des conflits dans quelques traités du xviie siècle »
26 mars — Cécile Tardy (Université de Limoges)
« Une incivilité voilée dans l’art épistolaire : l’équivoque chez Vincent Voiture »
2 avril — Cécile Leduc (Sorbonne Université)
« Beaufort contre Jarzé au jardin de Renard : analyse comparée de l’anecdote d’une incivilité »
23 avril — Giovanna Devincenzo (Université de Bari, Italie)
« Formes de l’(in)civilité dans le théâtre politique d’actualité des années 1590. Le cas de Simon Belyard »
30 avril — Jean-Paul Sermain (Sorbonne nouvelle-Paris-III)
« In/civilités conjugales de Scudéry à Marivaux et de Catherine Bernard à Perrault »
7 mai — Laurent Pernot (Strasbourg)
« Carambolages et faux-semblants dans la rhétorique grecque »